Désinformation : la clandestine et l’officielle16/02/20232023Brèves/medias/breve/images/2023/02/Fake-.jpg.420x236_q85_box-0%2C0%2C864%2C486_crop_detail.jpg

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Désinformation : la clandestine et l’officielle

Illustration - Désinformation : la clandestine et l’officielle

Une enquête de 100 journalistes, « Story killers », dénonce l'industrie de la désinformation : des sociétés, via des sites internet ou des médias, ont propagé de fausses informations pour influencer l'opinion publique en faveur des gouvernements d'Inde, de Russie, d'Indonésie, d'Israël ou de plusieurs pays d'Afrique.

Mais il n'y a pas besoin d'officines spécialisées pour faire de la propagande. Ici, les gouvernements successifs mentent à qui mieux, tout comme les politiciens qui aspirent à en faire partie. Quant aux principaux médias, ils appartiennent à des milliardaires : Bouygues, Dassault, Niel, Bolloré, Drahy, etc. . Ils pèsent sur l'opinion publique en permanence dans le sens pro-patronal.

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