Haute-mer : une protection plus que douteuse08/03/20232023Brèves/medias/breve/images/2023/03/Baleine1604.png.420x236_q85_box-59%2C0%2C841%2C440_crop_detail.jpg

Brève

Haute-mer : une protection plus que douteuse

Illustration - Haute-mer : une protection plus que douteuse

 

Il a fallu plus de quinze ans de négociations aux États membres de l’ONU pour signer le premier traité concernant la protection de la haute-mer. Le traité est censé protéger certaines aires marines et réglementer ces vastes zones qui échappaient jusqu’alors à toute juridiction.

La répartition des futurs bénéfices liés à l’exploitation des ressources génétiques marines a été l’occasion de bras de fer entre États. Le développement, dans certaines conditions extrêmes de la haute-mer, des organismes vivants, laisse en effet penser qu’ils pourraient représenter une manne pour le secteur médical ou cosmétique.

Toutes les grandes messes environnementales se ressemblent car elles ne remettent pas en cause le capitalisme : on met du vert sur l’étiquette, mais l’important ce sont les billets verts qu’on pourra en tirer.

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