Brève

Le principe de précaution, ça passe après

Une étude de chercheurs estime que les déodorants composés de sels d’aluminium favoriseraient le développement des cellules malignes à l’origine du cancer du sein.

En 2012, leur première étude avait déjà révélé ce risque. Mais la Commission de Bruxelles avait refusé de toucher à la réglementation à laquelle sont soumis les industriels, au prétexte que les risques étaient impossibles à évaluer.

Les industries de cosmétiques de leur côté ne tiennent pas compte de cette étude, mais assurent qu’elles considèrent avec attention cette nouvelle étude, la sécurité du consommateur étant pour eux "une priorité absolue"…  après celle du profit bien sûr !

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