Saint-Brévin-les-Pins : l’État complice de l’extrême droite12/05/20232023Brèves/medias/breve/images/2023/05/cadaimage.jpg.420x236_q85_box-0%2C49%2C225%2C176_crop_detail.jpg

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Saint-Brévin-les-Pins : l’État complice de l’extrême droite

Illustration - Saint-Brévin-les-Pins : l’État complice de l’extrême droite

Le maire divers-droite de Saint-Brévin-les-Pins, Yannick Morez, a démissionné. Après avoir porté le projet, initié et géré par l'État, de déplacer un centre d'accueil pour demandeurs d'asile (CADA) sur un terrain de sa commune, Morez n'a reçu aucun soutien du Préfet ou du ministre. Cela, malgré les pressions et menaces exercées sur place par les racistes anti-migrants, excités par l'extrême droite de Le Pen et Zemmour, jusqu'à un incendie criminel à son domicile.

D'un côté Macron et Borne font des discours contre l'extrême droite, qui est leur concurrent électoral. De l'autre ils affichent leur dureté à l'égard des migrants et leur complaisance sur ce terrain avec les idées de l'extrême droite se dissimule à peine.

Ceux qui résistent aux pressions réactionnaires et accueillent les migrants en frères ne trouveront aucun soutien du côté de l'État.

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