Après les attaques sur les horaires, les attaques contre les militants syndicaux continuent

Depuis 2009, Jean-Luc Bielitz, un élu de la CGT de la Smart, est sous le coup d’une procédure de licenciement. Un licenciement refusé par l’inspection du travail dont la décision avait été confirmée par le tribunal administratif de Strasbourg.

La direction de la Smart avait saisi la Cour d’appel de Nancy qui avait rendu un jugement plus favorable à la direction. Sans attendre que le Conseil d’Etat, saisi par la CGT ne statue, le ministère du travail vient de notifier début janvier 2016 qu’il n’était pas exclu que soit finalement autorisé le licenciement auquel s’était pourtant opposé ses propres services en 2010 !

Une pétition http://www.mesopinions.com/petition/social/touchez-aux-delegues/17927 a été lancée sur Internet. Dans l'usine de la Smat, près de 500 travailleurs ont signé une pétition de solidarité.

Frapper ceux qui relèvent la tête pour que tout le monde la baisse, c’est l’objectif de la direction qui se sent forte du recul qu’elle a imposé à tous les salariés. Non au licenciement de Jean-Luc Bielitz !