Isère 7e circonscription - Bruno Perrodin, candidat Lutte ouvrière aux élections législatives 23/05/20172017Presse/medias/articlepresse/images/2017/05/bruno-perrodin-photo3.jpg.420x236_q85_box-0%2C25%2C354%2C225_crop_detail.jpg

Article de presse

Isère 7e circonscription - Bruno Perrodin, candidat Lutte ouvrière aux élections législatives

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Bruno Perrodin se lance une nouvelle fois dans la campagne des législatives pour Lutte ouvrière

Ouvrier métallurgiste à l’usine Renault Trucks de Vénissieux, Bruno Perrodin, 59 ans, portera les couleurs de Lutte ouvrière dans la bataille des législatives les 11 et 18 juin prochains.

L’homme n’est en pas à son coup d’essai puisqu’il a déjà mené plusieurs campagnes pour les législatives, notamment en 2012 alors que dix autres candidats briguaient cette 7e circonscription.

Résolu, il repart dans une nouvelle bataille, avec l’espoir de “Faire entendre le camp des travailleurs”.

« Nous voulons être présents dans quasiment toutes les circonscriptions pour donner à tous ceux qui ont fait le geste de voter pour Nathalie Arthaud lors du premier tour de l’élection présidentielle, l’occasion de renouveler leur vote. Là, il n’y aura pas de vote utile ! On ne peut pas s’allier avec ceux qui ont dirigé le pays pendant cinq ans et nous avons de grosses divergences avec le mouvement de Jean-Luc Mélenchon… »

« Il faut une opposition qui défende le point de vue des salariés »

Engagé depuis très longtemps au sein de Lutte ouvrière, Bruno Perrodin reste conscient du poids électoral de son parti mais souhaite être la voix de l’alternative. « Notre score ne sera sûrement pas très éloigné de celui de la présidentielle. Mais c’est important d’affirmer qu’il y a chez les travailleurs, un courant qui se revendique de la lutte. C’est assez minoritaire, mais 200 000, cela représente un poids certain pour défendre un programme. Et dans la rue, cela commence à faire beaucoup ! »

La campagne des législatives s’inscrira dans la continuité du projet porté par Nathalie Arthaud pour la présidentielle notamment l’interdiction des licenciements et répartition du travail entre tous sans diminution de salaire pour mettre fin au chômage, suppression du secret des affaires, augmentation des salaires et indexation sur la hausse des prix et taxes,…

« Nous irons sur les marchés, rencontrer un maximum de gens pour essayer de les convaincre. Nous ferons une campagne nationale, comme les autres partis. Au fond, les problèmes sont les mêmes que lors de la présidentielle. Il faut une opposition qui défende le point de vue des salariés, pas seulement le FN ».

 

 

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