Sécuritas : De sales méthodes16/04/20172017Brèves/medias/breve/images/2017/04/securitasb.png.420x236_q85_box-0%2C22%2C312%2C197_crop_detail.png

Brève

Sécuritas

De sales méthodes

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logo détourné

Un veilleur de nuit employé de Sécuritas, qui avait été surpris à la mi-juillet 2013 en train de dormir sur son lieu de travail, et qui avait été licencié pour faute grave, vient d'obtenir 55 000 euros de dédommagement.

La cour d'appel de Colmar a en effet pris en compte ce fait que durant les huit jours précédant le moment de la "faute", ce quinquagénaire aux 26 années d'ancienneté avait travaillé 72 heures !

Une réparation partielle a donc été obtenue. Tant mieux. Mais cette affaire est révélatrice des méthodes qu'emploie au quotidien la direction de Sécuritas à l'encontre des travailleurs.

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