Ce sont les travailleurs qui en subissent les conséquences

Erquelinnes et Estinnes sont deux communes belges qui ont fermé toute une partie de leurs rues transfrontalières par des blocs de béton. A Erquelinnes, commune qui touche la commune française de Jeumont, ce sont 12 routes sur 20 qui ont été ainsi condamnées.

On peut douter de l’efficacité de telles mesures dans la lutte contre le terrorisme. Par contre, il n’y a aucun doute sur le fait que cela pourrit le quotidien des habitants, en particulier des travailleurs transfrontaliers, dont les trajets sont rallongés et pour qui les contrôles se multiplient.

La fermeture des frontières, cela va à l’encontre des intérêts des travailleurs.