Délit d'opinion et tentative d'intimidation24/04/20242024Brèves/medias/breve/images/2024/04/rassemblement-soutien-jean-paul-delescaut-intervention-jean-pierre-mercier-165407_thumbnail_56.jpg.448x251_q85_box-001279720_crop_detail.jpg.420x236_q85_box-1%2C0%2C447%2C251_crop_detail.jpg

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Délit d'opinion et tentative d'intimidation

Illustration - Délit d'opinion et tentative d'intimidation

Non contentes d’avoir condamné un militant syndical à un an de prison avec sursis pour « apologie du terrorisme » car il avait dénoncé le terrorisme d’État d’Israël, d’interdire des manifestations et des réunions publiques, les autorités convoquent des militants au même motif. Après Rima Hassan, militante de la cause palestinienne et candidate avec LFI, Anasse Kazib, porte-parole de Révolution Permanente, c’est au tour d’une députée LFI, Mathilde Panot, de devoir répondre à une telle convocation policière.

Si ne pas s’aligner sur le soutien du gouvernement français à la barbarie guerrière d’Israël ou d’autres est un délit, si prendre le parti des populations opprimées est un crime, les autorités trouveront de nombreux coupables.

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