Brève

Capitalisme et virus se font la courte échelle

Capitalisme et virus se font la courte échelle

Dans son intervention télévisée, Macron a affirmé que « pour en finir durablement avec la pandémie, nous devons vacciner partout ». Ce ne sont que des paroles car, alors que moins de 2 % de la population africaine est vacciné, il n’avait à promettre que le don de quelques millions de doses, alors qu’il en faudrait plusieurs milliards.

La production de vaccins est bridée par les brevets, qui empêchent de nombreux pays d’en fabriquer, et par le profit des trusts, qui réservent leurs doses aux pays riches au prix le plus fort.

Le capitalisme laisse au virus tout le temps de muter et de faire des ravages.

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