Dans une interview télévisée, Macron a renoncé à la proposition de vente à perte du carburant faite quelques jours plus tôt aux distributeurs. Il a annoncé que les 50 % de travailleurs les plus modestes toucheront l’an prochain un chèque de 100 euros maximum - la valeur d’un plein - pour les aider à couvrir leurs frais d’essence ou de diesel.
Une fois de plus, c’est zéro contrainte pour les grandes entreprises comme TotalEnergies, qui vont continuer à encaisser les superbénéfices de la spéculation. Et une piécette pour les salariés qui eux vont payer plein pot.