Brève
Le scandale permanent du mal-logement
Plusieurs associations et la Fondation Abbé-Pierre dénoncent le fait que 900 000 à 1,3 million de personnes soient « contraintes de vivre dans des conditions d’habitat dangereuses et indignes », comme les drames récents à Marseille l'ont rappelé. Un état d’urgence que les rapports établissent depuis des années sans que l’État ne lève le petit doigt pour en finir avec les « marchands de sommeil » et la spéculation immobilière.
La situation exigerait la réquisition des logements vides, un plan d’investissement massif pour construire à prix coûtant les logements qui manquent et la rénovation de ceux qui peuvent l’être. Mais tout cela, aucun gouvernement au service des capitalistes ne le fera.