L’enfer aux portes de l’Australie21/11/20172017Brèves/medias/breve/images/2017/11/20171121refugies_manus.jpg.420x236_q85_box-0%2C0%2C1024%2C576_crop_detail.jpg

Brève

L’enfer aux portes de l’Australie

illustration
Sur l'île de Manus

700 réfugiés originaires d’Irak, du Sri Lanka, d’Iran ou d’Afghanistan survivent dans un camp sur l’île de Manus, au large de la Papouasie-Nouvelle Guinée. Ils y sont retranchés sans eau ni électricité, ni nourriture, et refusent de sortir à cause des agressions dont ils sont victimes, de la part de petits voyous ou de la police locale.

Ce camp avait été ouvert par le gouvernement australien pour y déporter tous ceux qui cherchaient à gagner son territoire. Depuis le 31 octobre, il a été fermé par la Papouasie sans qu’aucun pays n’ait accepté d’accueillir les réfugiés qui s’y trouvaient.

Des pauvres condamnés à rester dans un camp de concentration, c’est le monde impérialiste en ce début du 21ème siècle !

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