Parcoursup : les vandales sont au gouvernement15/08/20182018Brèves/medias/breve/images/2018/08/Parcoursup.jpg.420x236_q85_box-0%2C54%2C1024%2C629_crop_detail.jpg

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Parcoursup : les vandales sont au gouvernement

Illustration - Parcoursup : les vandales sont au gouvernement

Au lieu des cinq millions d'euros annoncés, la ministre de l'Enseignement supérieur déclare qu'il va falloir sept millions pour « réparer les dégâts » prétendument causés par le mouvement étudiant d'opposition à Parcoursup.

Mais si la facture est salée - en supposant qu’elle ne soit pas artificiellement gonflée afin de dramatiser - c'est souvent parce que les présidences d'université ont payé très cher les services d'agences de sécurité pour surveiller, voire cadenasser les lieux. Et les tags à effacer ou les murs à repeindre, tout cet environnement dégradé date de bien avant la mobilisation étudiante.

En attendant, la facture la plus salée est pour les dizaines de milliers d'étudiants recalés ou découragés par Parcoursup, et pour ceux qui subiront le même parcours d'obstacles l'an prochain.

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