Brève
Sahel : les soudards de l’impérialisme
Au moins trois viols de femmes (et sans doute beaucoup plus) ont été commis par des soldats tchadiens à Tera, une ville du Niger. Ces violeurs font partie de la force anti-djihadiste du G5 Sahel, qui opère sous le contrôle de l’armée française.
Leurs crimes n’ont pas grand-chose à envier à ceux des djihadistes, dont ils prétendent protéger la population. Meurtres, viols, vols : ce sont les populations qui supportent le poids des rivalités entre groupes armés et défenseurs de l’exploitation impérialiste.