Traité d’Aix-la-Chapelle : ni vice ni vertu pour les travailleurs23/01/20192019Brèves/medias/breve/images/2019/01/macronmerkel.jpg.420x236_q85_box-0%2C34%2C640%2C393_crop_detail.jpg

Brève

Traité d’Aix-la-Chapelle : ni vice ni vertu pour les travailleurs

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Derrière Merkel et Macron, les capitalistes européens

Mardi 22 janvier, Macron et Merkel ont signé à Aix-la-Chapelle un traité qui renouvelle l'alliance franco-allemande signée en 1963. Ce genre de traité est avant tout une opération publicitaire pour montrer que l'Europe est unie et forte face aux autres puissances.

Le Pen a choisi d'en faire des tonnes autour de l'abandon à l'Allemagne de l'Alsace-Lorraine ou du siège français au conseil de sécurité de l'ONU. Mélenchon lui a emboîté le pas en dénonçant un prétendu « recul de notre souveraineté ».

Si les travailleurs, en France comme en Allemagne, n'ont rien de bon à attendre de l'Union européenne, le nationalisme et la xénophobie, de gauche ou d'extrême droite, sont tout autant des pièges et des impasses.

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