Brève
Un toit, c’est un droit !
Le quota de logements sociaux prescrit par une loi de l’an 2000 n’est toujours pas respecté par 53 % des communes concernées. Des communes riches préfèrent payer une amende plutôt que d’en construire. Le gouvernement ne veut ni faire appliquer la loi, ni lancer de construction de logements de qualité accessibles aux classes populaires, tandis que les promoteurs immobiliers visent une clientèle riche.
Pour garantir à chacun un logement décent, c’est la dictature de l’argent qu’il faudra remettre en cause.