Il faut des logements pour tous

Depuis le 3 octobre, à l’initiative de RESF (Réseau Education sans Frontière), plus de 60 adultes et 40 enfants ont déménagé leurs tentes de la place du 1er mai pour s’installer sur les pelouses de la faculté de lettres avec l’espoir d’alerter sur leur situation… et de disposer de sanitaires.

La solidarité s’est organisée tant du côté des associations que des étudiants.

Par contre, de la part des pouvoirs publics, aucune véritable solution n’est apportée. C’est une honte !

Les travailleurs immigrés font partie à part entière du prolétariat. Alors leur combat pour avoir le droit d’accéder à « un toit, une école, des papiers » rejoint celui de tous les travailleurs.