Elections régionales

Sauvadet : la parité… sur le papier

Brève
22/11/2015

 

Sur le site internet de campagne du candidat de la droite aux élections régionales, on ne voit que des hommes autour de Sauvadet. Et lors d’un débat sur France 3, plusieurs journalistes ont remarqué qu’il ne regardait même pas son adversaire Marie-Guite Dufay, la présidente sortante du Conseil régional de Franche-Comté.

Non seulement Sauvadet n'est pas prêt à faire une place aux femmes de son propre bord politique, ne serait-ce que sur la photo, mais il ne cache pas beaucoup son naturel.  

Elections régionales

Sauvadet : la parité… sur le papier

Brève
10/11/2015

Sur le site internet de campagne du candidat de la droite aux élections régionales, on ne voit que des hommes autour de Sauvadet. Et lors d’un débat sur France 3, plusieurs journalistes ont remarqué qu’il ne regardait même pas son adversaire Marie-Guite Dufay, la présidente sortante du Conseil régional de Franche-Comté.

Non seulement Sauvadet n'est pas prêt à faire une place aux femmes de son propre bord politique, ne serait-ce que sur la photo, mais il ne cache pas beaucoup son naturel.  

Montbéliard

Tout le mépris de politiciens anti-ouvriers

Brève
10/11/2015

Pour appâter l’électorat des petits patrons, le Front National met déjà de l’eau dans sa vinasse concernant les points de son programme mis en avant pour attirer les déçus de la gauche.

Le FN n’est pas encore au pouvoir dans une région qu’il met déjà la pédale douce sur les promesses en direction des classes populaires. Soyons sûrs qu’une fois aux manettes, il fera, enpire, ce que ceux en place font en négatif pour les travailleurs.

Lundi 9 Novembre, la candidate du Front National aux élections régionales distribuait un tract à la portière de PSA à Sochaux et elle offrait à cette occasion…. un paquet de bonbons.

Il faut vraiment mépriser la classe ouvrière pour penser que les travailleurs conscients puissent changer la couleur de leur bulletin de vote pour une gâterie, comme le singe qui fait une pirouette au cirque pour avoir une banane.

Auxonne

Avoir un toit est un droit, non un privilège

Brève
05/11/2015

Vendredi 30 Octobre, 29 migrants de Calais ont été accueillis à Auxonne. « Ils resteront un mois maximum » déclare le maire, Raoul Langlois.

Ils sont demandeurs d'asile mais la secrétaire générale de la préfecture est claire : soit la demande d'asile sera acceptée, soit ils seront expulsés, soit ils retourneront dans leur pays d'origine de leur propre chef. Comme si retrouver le chaos et la misère, qu'ils ont fuis, était une perspective. Leur refuser l'asile est une condamnation à mort.

Par ailleurs, le gouvernement et les autorités locales ne font que déplacer le problème : la trêve hivernale a été annoncée cette semaine, et ils ont décidé en conséquence de répartir les migrants concentrés dans des camps sur plusieurs villes en France.

Chaque année, nous savons que les sans-abris, qu'ils soient d'ici ou d'ailleurs, meurent par dizaines dans les villes où il y a pourtant des logements vides ! Oui à la régularisation et à l'hébergement de tous les migrants et sans-abris sans conditions !

Géant Casino de Torcy

Contre le travail du dimanche, les travailleurs en grève font reculer la direction

Brève
05/11/2015

Ils s'opposent au projet d'ouverture de leur magasin les dimanches matin déjà depuis plusieurs semaines. Mais la direction s'est entêtée à maintenir son annonce d'ouverture dominicale à partir du 15 novembre. Samedi 31 Octobre, presque tout le personnel était en grève, rejoint par quelques salariés d'autres grandes surfaces de la région. Devant la mobilisation et le soutien affiché de nombreux clients, la direction a temporairement abandonné la date du 15 Novembre mais conserve son projet à longs termes. Le travail du dimanche dans les grandes surfaces n'est en aucun cas une nécessité sociale, il ne s'agit pour ces grands groupes de la distribution que de faire encore plus de profits en contraignant les travailleurs à venir un jour de plus. Les travailleurs de Géant Casino sont déterminés à ne pas reculer devant la pression de la direction, et ne croient pas un mot de ses arguments.