General Electric (Belfort) : Non à tous les licenciements12/09/20192019Brèves/medias/breve/images/2019/09/illustration_sans_titre-4.jpg.420x236_q85_box-0%2C52%2C560%2C368_crop_detail.jpg

Brève

General Electric (Belfort)

Non à tous les licenciements

Illustration - Non à tous les licenciements

Bruno Le Maire a déclaré, en créant « un comité de suivi sur les engagements pris par General Electric en 2014 », vouloir que General Electric "réduise le volume global de son plan de licenciements " qu'il juge en l'état "excessif" (plus de 1000 licenciements sont prévus dans la partie Turbines à Gaz).

Résultat de la première réunion : les 50 millions d’euros que GE a versé pour ne pas avoir respecté son engagement de créer mille emplois, suite à la reprise de la partie Energie d’Alstom, serviront peut-être pour 50 emplois pour des reclassements éventuels à Belfort. Soit un million d’euros par emploi, pour créer des « start-up », le tout sans aucun engagement. De quoi attirer les margoulins qui veulent s’enrichir.

Pourtant ces jours-ci, une étude a été publiée sur les entreprises ayant le plus de « cash » dans le monde. General Electric y apparaît en 4ème position avec 31,97 milliards de dollars. Ce cash montre ce que sont les profits réels de ce groupe. Il faut interdire ces licenciements et prendre sur les profits pour préserver les emplois.

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