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Pas de quoi se vanter
Les patrons de LDC, du groupe Almunajem et le président du Conseil Régional se vantent des conditions de reprise de ce qui reste du groupe Doux. Selon ce dernier, il s’agit, avec de l’argent public, de « contribuer à la transformation de tout un secteur mobilisé pour le bien-manger » !
Mais du côté des travailleurs, on compte 28 licenciements sur le site de Plouray (Morbihan), 65 au siège et 71 à l’usine de Châteaulin (Finistère) plus 145 en Vendée.
La « transformation » se révèle indigeste pour les travailleurs concernés.