Municipales à Rennes. Lutte ouvrière dévoile les 61 noms de sa liste22/02/20202020Presse/medias/articlepresse/images/2020/02/LISTE-renes.jpg.420x236_q85_box-0%2C118%2C1260%2C827_crop_detail.jpg

Article de presse

Rennes (35)

Municipales à Rennes. Lutte ouvrière dévoile les 61 noms de sa liste

illustration
La liste "faire entendre le camp des travailleurs" ,menée par Valérie Hamon et Jean-Louis Amisse, aux élections municipales de Rennes

Valérie Hamon et Jean-Louis Amisse, co-têtes de liste de « Faire entendre le camp des travailleurs » ont présenté les noms de leurs colistiers. Les candidats se présenteront aux élections municipales de mars prochain.

Les deux têtes de liste de Lutte ouvrière (LO) « Faire entendre le camp des travailleurs », Valérie Hamon et Jean-Louis Amisse, ont dévoilé, jeudi 20 février 2020, les noms de leurs colistiers et colistières aux élections municipales des 15 et 22 mars.

Moyenne d’âge de 49 ans

« Nous ne sommes ni des notables, ni des politiciens », explique d’emblée Valérie Hamon. La liste se compose d’ouvriers, d’employés, de postiers, de cheminots, d’hospitaliers, de techniciens, d’enseignants, d’étudiants, de retraités, de chômeurs… Des personnes vivant « de leur travail, de leurs allocations ou de leurs pensions et qui connaissent la précarité et les difficultés du quotidien, insiste Valérie Hamon. C’est à ce camp-là que nous nous adressons. Sans oublier les artisans et petits paysans qui, eux aussi, subissent la pression des grandes banques et des capitalistes ».

La moyenne d’âge de la liste est de 48,75 ans. Les deux plus jeunes, Garance Lucas et Gaël Béduneau, sont âgés de 20 ans. La plus âgée, Éliane Gaudin, a 77 ans. Valérie Hamon et Jean-Louis Amisse ont sollicité leur entourage, leurs proches et collègues de travail pour constituer cette liste « sans rencontrer de difficultés », assurent-ils.

Pas « d’oasis locale »

L’ambition affichée par LO n’est pas d’être un « meilleur gestionnaire des affaires de la commune. Nous n’allons pas faire de propositions pour créer une oasis locale », précise Florence Defrance, en troisième position sur la liste. Le parti ouvrier entend essentiellement s’inscrire « dans la continuité du combat mené par les salariés depuis des mois contre le projet de réforme des retraites ». Un mouvement qui aurait révélé « l’opposition de deux camps irréconciliables » et permis « aux travailleurs d’élever leur conscience », poursuit Valérie Hamon.

Envoyer au conseil municipal des hommes et des femmes « issus des classes populaires » serait la garantie « d’obtenir un appui dans toutes les mobilisations contre la bourgeoisie », ajoute Jean-Louis Amisse. Il s’agirait également « d’associer les travailleurs aux décisions ».

Voici les colistiers et colistières tel qu’ils apparaissent sur la photo de gauche à droite :

1e rang : Sandra Chirazi, Jean-Louis Amisse, Valérie Hamon, Florence Defrance, Benoît Guillet, Jean-Pierre Gaudin, Raymond Madec

2e rang : Françoise Hamard, Éric Gaillard, Marie-Annick Mottais, Christelle Jarny, Alain Boudry, Vincent Leroy, Karim Ouziala, Serge Defrance

3e rang : Jeanne Toupet, Jean-François Lagardère, Michel Desnos, Michaël Belin, Anne-Marie Frotin, Gaël Béduneau, Catherine Deshayes, Martine Grassineau, Stéphane Nogues

4e rang : Régis Douard, Éliane Gaudin, Cécile Viber, Céline Mariette, Pablo Hubert, Sébastien Matz, Julie Lepert, Lucie Herblin, Pascal Ledain, Eric Dérouéné, Hoël Iris, Éric Lepage

5e rang : Édouard Descottes, Thérèse Lebrun, Jeannick Rouleau, Garance Lucas, Christine Brennus, Nicolas Bastian, Gilles Lucas

Droits de reproduction et de diffusion réservés © Ouest France

Partager