C'est le lanceur d'alerte qui en subit les conséquences

En juin 2017, Le Républicain lorrain publiait les déclarations, étayées par une vidéo, d'un salarié d'une filiale de Suez : il avait dû déverser sur le crassier de Hayange de l'acide en provenance d'ArcelorMittal.

Depuis, l'enquête "suit son cours", c'est-à-dire traîne en longueur, le lanceur d'alerte a été licencié et déprime.

Les propos gouvernementaux sur la défense de l'environnement, c'est juste pour justifier le racket des automobilistes. Pour ce qui est des entreprises, on nous dit qu'il faut "préserver leur compétitivité".