Brève

Hôpital de Langres

Pour l’ARS, la santé est secondaire

Hôpital de Langres : Pour l’ARS, la santé est secondaire
Pour l’ARS, la santé est secondaire

Un rapport, demandé par le Pôle d’équilibre territorial et rural du pays de Langres au conseil de développement territorial, indique la situation difficile dans laquelle se trouve l’hôpital de Langres en Haute-Marne. Déficit de près de 16 millions, démantèlement des services de chirurgie qui partent dans la ville préfecture, manque de personnel récurrent… Tous les ingrédients sont réunis pour dire que l’hôpital de Langres pourrait ne pas tenir plus de deux ans. Une situation qui est à l’image de ce qui se passe dans bien des petites villes.

C’est qu’à force de considérer que la santé doit être rentable, à force de rogner sur les coûts, le gouvernement par le biais de ses agences régionales de santé mène une politique de casse de la santé, avec toutes les conséquences que cela peut avoir pour la population qui y vit.

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