Licenciements catastrophiques pour les salariés

Le journal la Voix du Nord rappelle qu’en 2015, 307 salariés d’Arjowiggins, à Wizernes, ont perdu leur emploi avec la fermeture du site. Seuls 70 travailleurs auraient retrouvé un CDI, 68 n'auraient qu'un CDD ou un contrat intérim.

Le groupe Sequana, qui possédait l’usine, est pourtant riche à milliard et l’Etat, qui possédait 35% des actions, n'a rien fait pour s'opposer aux licenciements : il a défendu les intérêts des actionnaires privés.

Pour que les groupes richissimes arrêtent d’augmenter leurs bénéfices avec la peau des travailleurs, les futures mobilisations générales des travailleurs devront inscrire comme exigence collective l'interdiction des licenciements, sous peine de réquisition et le partage du travail sans perte de salaire.