Camille Fournet – Tergnier (Aisne) : Non aux licenciements27/11/20202020Brèves/medias/breve/images/2020/11/camille_Fournier_0.jpg.420x236_q85_box-0%2C187%2C2000%2C1312_crop_detail.jpg

Brève

Camille Fournet – Tergnier (Aisne)

Non aux licenciements

Illustration - Non aux licenciements

L’entreprise Camille Fournet qui fabrique des bracelets de montres de luxe a déjà licencié six salariées depuis le début de la pandémie. Elle en a de nouveau convoquées huit ce mois ci pour des licenciements soi-disant économiques au prétexte qu’il y aurait moins de travail du fait de la pandémie.

Ces salariées, majoritairement ce sont des femmes, ont été informées que leur poste était supprimé alors qu’elles avaient été placées en chômage partiel.

De ce fait elles n'étaient pas dans les ateliers entre le moment où elles ont pris connaissance de leur licenciement et de leur convocation.

Des salariés mettent en doute les raisons données par la direction car des périodes de chômage partiel sont imposés pour faire face à la baisse des commandes que déclare la direction.

Pendant ces périodes, les salariées sont de fait en grande partie payées par l'État. De plus l'entreprise est en plein développement.

Aujourd'hui la direction dit qu'elle en a fini avec les licenciements mais en fait elle se sert des salariées comme variable d'ajustement.

Le virus a bon dos !

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