CHRU de Nancy :  Des chiffres accablants

Echo d'entreprise
16/11/2020

Les hôpitaux de Brabois à Vandoeuvre

La deuxième vague est bien là, à tel point que déjà 355 agents du CHRU ont été dépistés positifs au Covid, dont 198 personnels non médicaux.

Un lourd tribut payé par les hospitaliers à cette pandémie.

Et dire qu’ils ne sont pas encore fichus de nous donner de vraies surblouses !

 

CHRU de Nancy :  ‌Aucune anticipation

Echo d'entreprise
03/11/2020

L'hôpital de Brabois Adultes

La deuxième vague est bien là, mais pas les effectifs pour y faire face !

L’année 2020 avait débuté avec 180 postes en moins par rapport à 2019, suite aux restructurations. Aujourd’hui on en est pratiquement au même point.

Alors que la seconde vague était prévisible, gouvernement et direction n’ont pas été fichus de prendre la moindre mesure pour que nous puissions l’affronter.

 

PSA Trémery :  Indexer le salaire sur le prix du sandwich !

Echo d'entreprise
26/10/2020

Sans crier gare, le prix du sandwich de base dans les distributeurs automatiques vient d’exploser : il est passé de 1,10 € à 1,85 €, quasiment 70% d’augmentation. Le café, lui, a pris 12,5%, en passant de 0,40 € à 0,45 €.

C’est décidé, c’est sur le prix du sandwich, et pas sur celui du café, qu’il faut caler l’augmentation des salaires !

PSA Trémery :  De l’argent pour les salaires, pas pour les actionnaires !

Echo d'entreprise
13/10/2020

PSA vient de racheter pour 163 millions d’euros une partie des actions de Dongfeng pour les détruire.

163 millions d’euros vont donc partir en fumée !

Le but de l’opération est de faire remonter la part de la famille Peugeot dans l’actionnariat du groupe PSA.

Mais c’est PSA qui finance ce gaspillage avec les bénéfices du travail de milliers de salariés. Et c’est la famille Peugeot qui en tire les bénéfices !

PSA Metz-Borny :  Quand les Peugeot spéculent…

Echo d'entreprise
06/10/2020

La FFP, société financière de la famille Peugeot, a encaissé 32 millions de bénéfices au premier semestre. Tout cela grâce à de juteuses opérations financières : revente de 1% des actions de SEB à un prix 5 fois supérieur au prix d’achat ; revente de la participation dans Roompot, opérateur de vacances néerlandais, en triplant la mise.

Toutes les richesses de la société vont dans la finance. Des richesses que nous avons créées et qu’ils gonflent en bloquant nos salaires, supprimant les emplois et augmentant la charge de travail.

On ne peut pas spéculer que ce système disparaisse tout seul. Il va falloir que les travailleurs s’en occupent.

PSA Trémery :  Le virus du profit

Echo d'entreprise
29/09/2020

Avec le rebond de contaminations au Covid, les ouvriers des usines Opel d’Allemagne « en renfort » à Trémery ne sont pas revenus, et des travailleurs de Pologne arrivent pour les remplacer.

En pleine période d'épidémie, organiser des déplacements d'un bout à l'autre de l'Europe, c'est favoriser la propagation du virus.

Il faut vraiment être un patron, c'est-à-dire complètement irresponsable, pour le faire.

PSA Metz-Borny :  PSA hyper rentable… pour les actionnaires

Echo d'entreprise
21/09/2020

« Nous sommes l’entreprise la plus profitable de l’industrie automobile mondiale » a déclaré Tavares interviewé dans une pleine page du Journal du dimanche. Avec une marge de 8,5%, PSA est, selon le PDG, « le groupe le plus rentable de son industrie ».

Les suppressions d’emplois se succèdent. « Ce n’est que le début. Il va y avoir encore des réductions d’effectifs d’ici 2030 »affirme Tavares. Par ailleurs, il se réjouit que la fusion avec Fiat (FCA) va rapporter aux actionnaires 1,3 milliard de plus que prévu, soit 5 milliards d’euros.

De l’argent plein les poches, des suppressions d’emplois en prévision… c’est plus que clair : c’est leurs profits contre nos emplois.

PSA - Borny  :  Encore du fric pour les actionnaires !

Echo d'entreprise
15/07/2020

Tavares affirme vouloir réduire de 700 euros le coût de fabrication de chaque véhicule. C’est une menace pour nos conditions de travail, pour nos salaires et pour les sous-traitants dont ils vont tirer les prix.

Diminuer les prix, c’est uniquement pour augmenter les profits. Nous ce qu’on veut diminuer, c’est le chômage en répartissant le travail entre tous sans perte de salaire.

PSA Borny  :  Profiteur total du chômage partiel

Echo d'entreprise
15/07/2020

La direction a fait payer au chômage partiel des centaines d’intérimaires qui survivent avec des payes indécentes. Ils ne peuvent même pas rompre leur contrat pour travailler ailleurs !

Voilà le profiteur du chômage : c’est PSA qui fait payer par les fonds publics les intérimaires encore en contrat et oblige ceux qui travaillent à en faire toujours plus.

PSA - Borny  :  Travailleurs de tous les pays unissons-nous !

Echo d'entreprise
08/07/2020

La direction a fait venir 50 travailleurs d’une usine Opel en Pologne et une quinzaine de Hongrie. Ces camarades ne sont pas payés au tarif PSA mais à celui – moins favorable - de la convention collective.

Les patrons veulent nous transformer en nomades de l’industrie. Aujourd’hui ce sont nos frères polonais ou hongrois que la direction envoie à des centaines de km de chez eux. Demain c’est nous qui serons envoyés là où le patron le jugera plus rentable.

Français, Polonais, Hongrois… CDI ou précaires, nous avons tous les mêmes intérêts et le même ennemi.

Même exploiteur, mêmes intérêts !

PSA exploite des travailleurs intérimaires qu’il prend et jette suivant ses intérêts.

Maintenant, PSA veut faire tourner les salariés de toutes ses usines pour augmenter les profits des actionnaires.

PSA cherche à mettre en concurrence tous les travailleurs de tous les pays.

Mais quelle que soit notre nationalité ou notre couleur de peau, nous sommes tous des travailleurs et nous avons les mêmes intérêts.

Nous avons le même patron, unissons-nous pour nous défendre contre lui !

Ten sam wyzyskiwacz, te same zainteresowania!

PSA wykorzystuje pracowników agencji, które bierze i odrzuca zgodnie ze swoimi interesami.

Teraz PSA chce rotować pracowników wszystkich

swoich fabryk, aby zwiększyć zyski akcjonariuszy.

PSA dąży do postawienia wszystkich pracowników ze wszystkich krajów w konkurencji.

Ale bez względu na naszą narodowość lub kolor skóry wszyscy jesteśmy pracownikami i mamy te same interesy.

Mamy tego samego szefa, zjednoczmy się, aby się przed nim bronić!