Déjà candidat en 2008 et en 2014, avec « Faire entendre le camp des travailleurs » le cheminot retraité est à nouveau tête de liste. 28/02/20202020Presse/medias/articlepresse/images/2020/02/jean-luc-robin-lo-sotteville-les-rouen-ok_26646017_20200226155419.jpg.420x236_q85_box-0%2C17%2C847%2C494_crop_detail.jpg

Article de presse

Jean-Luc Robin candidat à Sotteville-lès-Rouen pour Lutte ouvrière

Déjà candidat en 2008 et en 2014, avec « Faire entendre le camp des travailleurs » le cheminot retraité est à nouveau tête de liste.

Illustration - Déjà candidat en 2008 et en 2014, avec « Faire entendre le camp des travailleurs » le cheminot retraité est à nouveau tête de liste.

« Il y a tellement d’injustices dans cette société : il ne faut pas la modifier, il faut la changer. » Ce constat, Jean-Luc Robin, tête de liste Lutte ouvrière à Sotteville-lès-Rouen, l’entretient depuis son plus jeune âge. « J’ai commencé la politique très jeune, dès le lycée. J’ai toujours milité », confie le candidat de 67 ans, résidant dans la commune depuis 1978.

Pour ces élections municipales, l’ancien cheminot aux ateliers de Quatre Mares de Saint-Étienne-du-Rouvray ne déroge pas aux fondamentaux de Lutte ouvrière. « Je profite de cette élection pour défendre les idées communistes révolutionnaires, contre cette société qui exploite les gens », soutient-il.

« Exprimer leurs colères »

Baptisée « Faire entendre le camp des travailleurs », la liste s’adresse au « monde du travail, celui qui subit le chômage et la réforme des retraites », et se veut le « relais de toutes les grèves et du mouvement des Gilets jaunes », selon le candidat. « On veut que le maximum de salarié, de chômeurs, de retraités jeunes et majeurs expriment leur colère », ajoute le candidat.

Jean-Luc Robin, retraité depuis une dizaine d’années, a déjà représenté Lutte ouvrière aux élections municipales de 2008 et de 2014. En 2008, il avait réalisé un score de 4,59 %.

Pour cette nouvelle campagne, le candidat a rassemblé une liste essentiellement constituée d’anciens ouvriers, de chômeurs ou de retraités. « Que des salariés, que des chômeurs, des hospitaliers ; il n’y a pas de riches », énumère le candidat. À la deuxième place de sa liste figure Catherine Potel, agent SNCF à la retraite. La troisième position échoit à Simon Sulkowski, professeur des écoles à la retraite, candidat de Lutte ouvrière aux élections législatives de 2002, 2007 et 2017.

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