TGV paris-La Rochelle : Des économies qui puent19/02/20182018Brèves/medias/breve/images/2018/02/20180218_Gare-Montparnasse_CRW_1606.jpg.420x236_q85_box-0%2C160%2C3072%2C1888_crop_detail.jpg

Brève

TGV paris-La Rochelle

Des économies qui puent

illustration
Train à quai gare Montparnasse

Toilettes sans eau, ou sans savon, ou sans chasse d’eau, ou cuvette qui déborde, répandant une odeur que n’arrive pas à masquer l’âcreté irritante du produit sanitaire qui se répand aussi au sol : il est rare que tous les WC d’une rame TGV La Rochelle-Paris fonctionnent normalement.

Cela résulte d’un choix : réduire la durée de stationnement des TGV à Montparnasse, faute d’un nombre suffisant de rames en circulation, ce qui ne laisse pas le temps de vider assez souvent les eaux noires, remplir les réservoirs d’eau claire et les distributeurs de savon.

Entre payer des péages exorbitants à Vinci pour la LGV et acheter des rames en nombre suffisant pour assurer une hygiène minimale, la direction de la SNCF a choisi.

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