De la compassion pour les victimes de la crise, Sarkozy n'en a que devant les caméras. "Je me fais taper dessus mais j'ai la banane. C'est dur pour moi aussi mais en même temps, je rêvais d'être président de la République et je le suis, donc ça va...", a-t-il expliqué mercredi 25 mars aux députés UMP lors d'un cocktail, où il se targuait de tenir bon face aux grévistes du 19 mars. Il faudra donc riposter encore plus nombreux, encore plus vite, et encore plus fort.
Envoyer une bonne pêche, rien de tel pour faire ravaler une banane.