Macron a jeté une gerbe dans la Seine et dénoncé les « crimes inexcusables pour la République » à propos de l’assassinat de nombreux Algériens qui manifestaient le 17 octobre 1961 à Paris contre le couvre-feu qui leur était imposé.
Mais il s’est contenté d’en jeter la responsabilité sur le seul Maurice Papon, le préfet de police de Paris. Sans mentionner celles du ministre, Premier ministre et président (De Gaulle) aux ordres desquels Papon et les policiers meurtriers étaient.
C’est tout l’appareil d’État français qui a du sang sur les mains.