Brève
Les larmes pour les uns, les milliards pour les autres
À Pantin, en Seine-Saint-Denis, une marche a eu lieu en hommage à Christine Renon. Il y a juste un an, cette institutrice s’était suicidée en dénonçant le manque de moyens dans les écoles. Le gouvernement avait alors versé quelques larmes et promis du changement.
Aujourd’hui rien n’a changé : il réserve ses milliards au patronat, pendant que les enfants des banlieues populaires vont continuer à s’entasser dans des classes surchargées.