Troupes françaises, hors du Mali 

Macron vient d’annoncer l’élimination par les soldats français présents au Mali d’un chef du groupe État islamique au grand Sahara. C’est l’occasion pour lui de plastronner.

Mais le pouvoir des talibans en Afghanistan, advenu même après l’élimination de Ben Laden, montre que tuer un chef djihadiste ne mène à pas grand-chose.

Au Sahel, l’armée française a d’abord pour but de sauvegarder les intérêts géopolitiques de la France dans la région et ceux des trusts français. En ajoutant du chaos au chaos, elle n’a pas éradiqué la violence des bandes armées mais l’a alimentée.