Isabelle Apro : « Pour que les travailleurs se fassent entendre »15/02/20202020Presse/medias/articlepresse/images/2020/02/11.1.3613626969.jpg.420x236_q85_box-0%2C36%2C400%2C260_crop_detail.jpg

Article de presse

L'Est Républicain

Isabelle Apro : « Pour que les travailleurs se fassent entendre »

Illustration - Isabelle Apro : « Pour que les travailleurs se fassent entendre »

Isabelle Apro conduira une liste Lutte Ouvrière. ( /Chantal LAVOINE )

Lutte Ouvrière présentera une liste aux prochaines municipales. Isabelle Apro, assistante sociale, en tête, « pour faire entendre le camp des travailleurs ».

Elle estime qu'« une commune populaire comme Héricourt est prise en étau entre les besoins criants et le manque de moyens pour y faire face ».

Pour les prochaines élections municipales des 15 et 22 mars, quatre listes seront en lice à Héricourt. En effet, Lutte Ouvrière présentera une liste intitulée « Faire entendre le camp des travailleurs ». Avec pour chef de file, Isabelle Apro, 46 ans, assistante sociale. « Il faut mettre en avant les intérêts collectifs du monde du travail », observe la candidate.

« Les candidats et candidates de la liste ne sont pas des politiciens ni des notables. Ils affirment fièrement leurs idées communistes et révolutionnaires », martèle la tête de liste.

« Ce sont des ouvriers, des employés, des techniciens, des agents d'entretien, des hospitaliers, des auxiliaires de vie... qui partagent la vie et les difficultés des travailleurs ». «

On ne dit pas votez pour nous et les choses changeront. Il n'est pas possible, à l'échelle d'une commune, de changer réellement la vie des travailleurs. Une commune populaire comme Héricourt est prise en étau entre les besoins criants et le manque de moyens pour y faire face », affirme-t-elle encore.

Isabelle Apro, estime que « les travailleurs ont mieux à faire que de se prononcer entre les diverses nuances des politiciens qui veulent gérer les affaires des puissants, ou que de se taire en s'abstenant. Ils ont à prendre conscience de leurs intérêts collectifs et de leurs possibilités sociales, ils ont à s'organiser en vue du combat ». « On veut contribuer à ce que les travailleurs conscients de leurs intérêts se fassent entendre ».

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