Trois questions aux neuf candidats de la première circonscription06/06/20222022Presse/medias/articlepresse/images/2022/06/odile-koller-assistante-sociale-dans-la-banlieue-dijonnaise-etait-deja-candidate-il-y-a-cinq-ans-photo-jsl-laurie-bouclet-1654107077.jpg.420x236_q85_box-0%2C84%2C1600%2C984_crop_detail.jpg

Article de presse

Législatives/Saône-et-Loire

Trois questions aux neuf candidats de la première circonscription

Illustration - Trois questions aux neuf candidats de la première circonscription
Odile Koller (Lutte ouvrière) veut être « au service du monde du travail » Quelle députée voulez-vous être ? « Si j’étais élue, je serai au service du monde du travail : salariés du public, du privé, des agriculteurs, des artisans, des commerçants vivant de leur activité et qui n’exploitent personne. Je défends le même programme que Nathalie Arthaud. J’interdirai les licenciements, comme à Eurosérum, à Saint-Martin-Belle-Roche, et je dénoncerai le versement d’argent public aux grandes entreprises. » Pourquoi faut-il qu’Emmanuel Macron ait, ou n’ait pas, la majorité à l’Assemblée nationale ? « Majorité pour Macron ou pas, ça ne changera pas grand-chose. Concernant par exemple le projet de retraite à 65 ans, même si les députés à Nupes ou RN votent contre, ceux qui décident c’est le grand patronat et le Medef, qui font payer le moins de charges possible. Ils vont refaire du chantage à l’emploi, menacer de délocaliser… Macron pourra, là encore, faire passer sa loi par ordonnance. On voit bien que les députés n’ont aucun pouvoir. Seule la mobilisation des travailleurs par des grèves et manifestations pourra faire reculer le patronat et empêcher la loi de passer. » (...)

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