Depuis le 7 novembre, plus de 411 sans-abris ont dormi dans le gymnase Constant Véron, dont 53 familles avec 112 enfants. Certains occupants avaient déjà erré dans différents campements précédemment.
Depuis le 20 février, la « justice » avait décrété que les lieux devaient être évacués. Mais où aller quand on n’a pas de logement ?
Le bâtiment a donc été évacué le mardi 28 février par la police, la préfecture ayant prévu un nombre insuffisant de relogements.
Force est restée à la loi, mais la réquisition des logements vides, c’est aussi la loi… jamais appliquée.