Après 2008 et 2014, Fabrice Lucas, pour Lutte ouvrière, sera à nouveau candidat pour « faire entendre le camp des travailleurs ».24/02/20202020Presse/medias/articlepresse/images/2020/02/lucas_0.jpg.420x236_q85_box-0%2C66%2C1260%2C774_crop_detail.jpg

Article de presse

Après 2008 et 2014, Fabrice Lucas, pour Lutte ouvrière, sera à nouveau candidat pour « faire entendre le camp des travailleurs ».

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Conseiller municipal à St-Jacques-de-la-Lande, Fabrice Lucas conduira la liste « Lutte ouvrière, faire entendre le camp des travailleurs ».

 « Nos colistiers sont tous issus du monde du travail et représentent de nombreuses catégories d’emploi. Leur seul revenu est leur salaire ou leur pension de retraite. Beaucoup d’entre eux ont connu la précarité, l’intérim, la menace du licenciement ou le chômage », souligne Fabrice Lucas, conseiller municipal sortant, qui était le seul élu Lutte ouvrière, en 2014.
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> Lutte ouvrière sera présente dans 250 villes de France, lors des municipales. « À Saint-Jacques, comme partout, il faut que les gens se mobilisent pour défendre leurs salaires, leurs conditions de vie et les services publics. Les quartiers populaires de la ville doivent être représentés. D’autant plus que la difficulté sociale et la pauvreté touchent particulièrement notre commune. »
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> Catherine Lederlé, seconde sur la liste, ajoute : « C’est important dans la commune d’avoir une tribune, comme le conseil municipal, pour dénoncer les attaques actuelles contre les travailleurs. Dans un système capitaliste à bout de souffle et dans un désastre écologique et humain, nous voulons être les porte-parole des plus démunis. »
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> Fabrice Lucas rappelle aussi que le « combat politique se place au niveau national. Les problèmes vitaux des travailleurs ne dépendent pas de la municipalité. Mais des élus du monde du travail peuvent défendre les intérêts des salariés face au grand capitalisme. »
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> Jean Deniel, 68 ans, le doyen de la liste, témoigne : « J’ai accepté d’être candidat pour défendre les travailleurs. Je ne suis pas militant Lutte ouvrière, mais je suis engagé à gauche et pas dans une simili-gauche, qui a abandonné la défense des gens qu’elle devait représenter. »
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> Emma Simon, 18 ans, est la benjamine des candidats : « Mes deux parents sont Lutte ouvrière depuis toujours. Je suis leurs idées et leur engagement. Je suis étudiante infirmière et je découvre déjà mes futures conditions de travail. C’est important de se mobiliser. »
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> Les colistiers de Fabrice Lucas ne croient pas aux « promesses électorales des autres candidats. Aucune liste ne peut prétendre éliminer le chômage, la misère ou la crise. Mais les travailleurs ont la capacité collective de changer leur sort et de libérer la société du diktat capitaliste ».
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> Mardi 10 mars, à 20 h 15, réunion publique, à l’EPI Condorcet. 

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