Rennes (35) : Stellantis et Continental, ennemis des travailleurs08/02/20242024Brèves/medias/breve/images/2024/02/Continental_BarreThomas_3.jpg.420x236_q85_box-73%2C0%2C803%2C411_crop_detail.jpg

Brève

Rennes (35)

Stellantis et Continental, ennemis des travailleurs

Illustration - Stellantis et Continental, ennemis des travailleurs

    À la demande de Stellantis, 1,5 million d’euros avaient été investis à l’usine Continental-Barre Thomas pour la production de pièces-supports pour boîte de vitesse. Avec une subvention des pouvoirs publics, les pièces ont été conçues, et les machines sont opérationnelles.
    Mais Stellantis-La Janais a décidé d’annuler ses commandes, 15% du chiffre d’affaire actuel de la Barre-Thomas.
    La Barre Thomas, dont la production est toujours restée liée à Stellantis, comptait 3 000 travailleurs il y a 20 ans : elle en compte 300 aujourd’hui. Au fil des années, les suppressions d’emplois par les différents propriétaires (six en 20 ans) ont été menées sous les auspices de Stellantis.
    Et le propriétaire actuel, Continental, a entamé une procédure pour vendre l’usine en 2025 !

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