Violences policières : marque de fabrique25/09/20232023Brèves/medias/breve/images/2023/09/Voiture_de_la_Police_nationale.jpg.420x236_q85_box-0%2C31%2C1701%2C987_crop_detail.jpg

Brève

Violences policières : marque de fabrique

Illustration - Violences policières : marque de fabrique

Samedi 23 septembre, des dizaines de milliers de personnes ont manifesté contre les violences policières. Certains participants ont mis en avant des réformes pour rendre la police moins brutale, moins raciste et plus acceptable par les classes populaires. C’est-à-dire pour lui permettre d’exercer plus efficacement son rôle de défenseur de l’ordre social.

Or la police est au service du maintien d’un sale système d’exploitation. Elle ne peut qu’user de sales méthodes qui découlent de sa fonction et du mépris des classes possédantes envers la population. Si l’on veut se débarrasser du capitalisme, il faudra dissoudre cet État et ses corps armés qui le protègent. Pas prétendre les adoucir, ce qui est utopique et une tentative de désarmement politique des exploités.

La seule bonne police, ce sera celle que les travailleurs exerceront eux-mêmes dans leurs luttes pour renverser l’ordre capitaliste.

Partager