La révolte du peuple tunisien qui, après s'être débarrassé du dictateur Ben Ali, vient de faire partir son ex-Premier ministre, a donc fait une victime collatérale. Michèle Alliot-Marie, ministre des Affaires étrangères, est mise à la porte par son patron Sarkozy qui en a profité pour effectuer un mini-remaniement ministériel.Alliot-Marie n'est pas à plaindre, elle ne se retrouve pas sur la paille. Pour Sarkozy qui, dans son discours de dimanche... Lire la suite >